Paul Héger, ancien bâtonnier et professeur émérite à l’université commença à écrire après la fin de ses activités professionnelles. Il décrivit, tout d’abord, la vie de membres de sa famille durant trois siècles dans un livre intitulé « Héger 1700-2000 » qui fit l’objet d’une critique élogieuse dans la presse belge. Il consacra ensuite un carnet de note à l’évolution des sciences intitulé « Curiosités tardives ». Il écrivit un roman « C’était Lui » qui reçut un accueil favorable notamment dans une hebdomadaire français les « Notices bibliographiques » Il consacre aujourd’hui un carnet de notesà l’évolution de la foi chrétienne. « L’univers m’embarrasse ». Cet essai, est en quelque sorte la suite du précédent dont le titre « Curiosités tardives » trahissait la démarche. Ce ne sont pas des ouvrages de savant ou de théologien mais des interrogations d’intellectuel soucieux de comprendre à son échelle le monde dans lequel il vit.Le matérialisme est-il encore justifié ? Que reste-t-il de la Création ? Avons-nous une âme ? Est-elle immortelle ? Que sait-on de plus avec le cœur ? La phrase de Voltaire, limitée à ces deux premiers mots : « L’univers m’embarrasse » pourrait résumer ces questions mais aussi parfois les réponses.